28 février 2010
Ma salle Pleyel de poche
Evidemment, avec son mauvais tabouret néanmoins pivotant, ma salle Pleyel domestique n'a pas toute l'allure requise. N'importe, c'est ma joie que les pianistes de passage aient toute liberté de nous éveiller dès potron-minet au son d'une Gymnopédie. Et que mes filles peinent sur leurs gammes en attendant l'heure des récitals devant une société d'amis et de galants acquis à leurs charmes.
Jolie bête que ce Pleyel "4 bis" (ah bon ?) loué chez le Maladry, au terme d'une rude mais sympathique tractation de marchands de tapis. Les temps son durs, pour les facteurs de piano aussi.
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